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Ces ouvrages devraient apporter une réponse à la plupart des questions que se pose un débutant...ou même un vieux bât-la-houle. |
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Même si on ne souhaite pas se lancer dans la construction amateur, il est bon de connaître les différents types de construction. |
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Si l'on se doit de posséder un seul ouvrage à bord ou à terre, c'est bien celui-là!
Pratiquement tous les sujets y sont abordés...c'est la Bible.
Je ne connais pas les dernières éditions mais celle de 74 était déjà très bien et celle de 90 encore plus complète. Les winches électriques n'y figurent pas, mais en a t'on besoin ? |
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Pour les amateurs du bois, c'est une référence. Moi qui étais attiré par la construction "classique", j'ai vite compris que ce mode de construction ne m'était pas destiné compte tenu de mes capacités en menuiserie. La taille d'une latte de bordé, chose simple pour un charpentier de marine, reste encore hors de ma portée pour un travail soigné, à moins d'envisager d'utiliser des centaines de kilos d'étoupe pour parfaire le calfatage...ce qui reviendrait à construire un bateau en coton!
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Savoir quoi faire dans toutes les situations, des astuces, c'est tellement simple de naviguer avec Tabarly qu'on se demande pourquoi on n'y avait pas pensé tout seul!
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C'est un complément de livre ci-dessus, y'a des photos, c'est en couleur et on en apprend un peu plus sur le gréement.
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On peut le trouver à 11€ sur la toile. Y'a de belles photos et des pages techniques..."brutes de fonderie". Gliksman n'a jamais été réputé pour sa pédagogie. Mais, bon, y'a des trucs à prendre.
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Dans la série des H.S. de Loisirs Nautiques, c'est le premier qu'il faut posséder puisque tous les mode de construction sont passés en revue. Il y a aussi une partie dédiée, au calcul du moteur, et de l'hélice (sous forme d'abaques) et que l'on utilisera avec grande prudence car les explications sont sommaires et parfois contradictoires (surtout sur le calcul d'hélice).
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Téléchargeable sur la toile payant et/ou gratis, ce bouquin permet de continuer à naviguer si, après un coup de foudre par exemple, on se retrouve avec les mêmes moyens qu'à l'époque des vikings
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Comme son nom l'indique, si l'on s'oriente vers la construction en kit, ce volume sera plus qu'utile.
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Ca, c'est du nanan. Comme son nom l'indique, ce manuel représente la somme des connaissances qu'un "Gabier premier brin" devait connaître à l'époque...et c'était pas rien. C'est une réimpression de l'édition de 1875 du Ministère de la Marine et des Colonies...un bijou! Se trouve à 35€ chez PriceMinister.
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Pour modifier les aménagements prévus au plan, il y a là toutes les cotes utiles (de l'époque) et pas mal d'astuces qu'on étudiera avec profit..
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Librement téléchargeable sur la toile U.S., c'est un peu le "Glénans" américain, en moins complet, mais c'est gratuit.
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Des ouvrages en français y'en a plein mais trop souvent avec des photos catastrophes propres à mettre mon moral à zéro. Celui-ci est plus rassurant et donne des recettes moins contraignantes que ce qui se pratique dans nos chantiers.
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Ben oui! Faut bien mettre les mains dans le cambouis de temps à autre; de plus, savoir identifier un problème, c'est le résoudre en partie. |
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Posséder son boat c'est déjà un premier pas. Ensuite il faudra montrer que l'on sait entretenir, réparer ou remplacer les manoeuvres courantes...la petite liste qui suit sera de quelque utilité pour qui veut se perfectionner. |
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Epuisé, se trouve payant ou non en téléchargement. C'est un des rares ouvrages en français. On peut regretter qu'au chapitre du réglage des injecteurs, il n'y ait aucune mise ne garde sur les dangers du G.O. diffusé à haute pression. Cela pourrait éviter une visite à l'hôpital du coin ou pire, l'achat d'une canne blanche!
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Très belles illustrations de M.P.G. Berthier. En dehors des noeuds courants, on apprendra le macramé, à faire une ceinture et des bretelles et le noeud de sac "magique".
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Disponible chez Amazon pour 15€ à 20€. C'est un excellent bouquin, tout est très bien expliqué, les photos nombreuses. Calder est un vrai spécialiste et on appréciera le chapitre en fin d'ouvrage, sur le monoxyde de carbone. Tous ceux qui font tourner leur diésel au mouillage ou à quai pour recharger les batteries, y trouveront de quoi méditer.
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Près de 4.000 noeuds! Faut-il vraiment posséder cet ouvrage ? Ben, c'est comme un Larousse, y'en a un dans chaque foyer, ou presque, on le consulte de temps en temps et des fois on y passe même une heure ou deux. Là, c'est pareil, on a un Ashley et on s'y prélasse.
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Si l'on se lance dans une remotorisation ou simplement un changement d'hélice, il est bon de savoir comment ça se calcule, quelles sont les contraintes d'installation, calcul de l'arbre, du glissement, cavitation ou pas etc. Ce bouquin est la solution.
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C'est une vieille version et cette édition a été remise au goût du jour. Je pense que ce bouquin de Pierre Gutelle est incontournable et que chaque aspirant marin doit avoir lu au moins une fois.
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D'après le titre ce serait pour les élèves-débutants. Une fois que l'on aura réalisé le sac de voilier, on aura vite compris qu'il y a différents niveaux chez les débutants. Pour peu que l'on ne soit pas handicapé de la paumelle, c'est auto-satisfaisant d'entretenir et de réparer soi-même ses voiles!
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Encore un bouquin qui date mais qui explique fort bien le principe de "l'ancrage". Il n'y a pas les dernières ancres dites "modernes" mais le principe et la dynamique des sols restent les mêmes.
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A moins d'exercer une profession médicale, on est souvent désarmé devant l'accident et ses suites, alors une petite formation vite faite sur le gaz et on se lance!. |
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C'est pas le tout d'avoir un ciré H&H à 600€, encore faut-il employer les bons termes, ça fait plus sèrieux.
De plus, "Largue la corde bleue", "Tire sur le bout rouge" (déjà entendu sur un autre bord), c'est, au mieux, source de confusion alors que "Largue le bras de spi" ou "Borde le foc", (normalement) tout le monde se comprend. |
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Premier livre destiné aux marins d'occasion comme nous. Evidemment la liste pharmacie est obsolète mais les maux à soigner toujours d'actualité. On appréciera le chapitre sur l'amputation et celui consacré à l'accouchement par force 12. Je dois dire que les ayant fait lire à des équipiers de passage, ceux-ci faisaient par la suite particulièrement attention à ce que l'exécution des manoeuvres se fasse en toute sécurité.
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Le Dictionnaire Gruss de marine est une référence. Les termes sont décrits avec précision, c'est ce que l'on attend mais qui n'est pas toujours le cas dans d'autres publications. De plus chaque terme est traduit en anglais.
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En deux tomes, c'est le seul que je ne possède pas mais j'en connais le principe. "Caramel" en dit le plus grand bien, ce qui doit suffire comme référence.
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Encore un petit bijou du Capitaine Pierre Sizaire, c'est indispensable pour qui veut cerner l'esprit du marin. Il y a plein d'annecdotes et certaines histoires sont vraiment savoureuses. Cela permet aussi au chef de bord d'affirmer son autorité en émaillant ses commandements de formules pittoresques.
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GPS, cartographie électronique alors pourquoi s'emm..der avec un sextant et des tables ?
Peut-être parceque cela procure une immense satisfaction de pouvoir se positionner avec une observation d'astre(en fait, une série!) des tables, un crayon et un papier. |
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Un sextant est une belle chose, on en prend soin alors autant tout savoir sur cet instrument qui ne sert pas qu'avec les astres mais peut rendre beaucoup d'autres services. |
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N'importe quelle méthode est la bonne à partir du moment où on l'a intégrée et qu'on l'applique régulièrement. Moi j'ai appris avec l'amiral Sacaze au Yacht Club de France, dans les années 70. Son bouquin est un modèle de simplicité. On peut sauter la partie consacrée à la marche journalière de la montre et on travaillera directement en TU. N'importe qui est capable en 2 heures de faire une observation, de corriger et de calculer un intercept avec Dieumegard et Bataille ou les HO249. Après, avec l'habitude, en 10 minutes c'est bouclé
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Trouver le soleil et la lune ça va, mais les étoiles c'est autre chose. Voici un petit guide simple et concis qui permet de s'orienter facilement dans la sphère céleste.
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Pour les réfractaires à l'emploi des tables, Almicantarat est un logiciel "gratuit" qui calcule un point complet avec deux observations seulement. On rentre ses observations corrigées et on obtient sa position en Lat, Lon avec un clic. Les éphémérides sont incluses ainsi qu'une carte du ciel visible. Site de l'auteur
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Un cours complet ainsi que plein de trucs téléchargeables ici
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Pour les matheux, les différentes méthodes de calcul de la longitude c'est ici
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Pour ceux qui veulent savoir comment marche le logiciel Almicantarat, comment on peut obtenir un point complet avec seulement la date et une position estimée à 10° près, c'est ici.
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La longitude par les distances lunaires suppose que l'on est en panne de chronomètre...ce qui peut arriver. La précision n'est pas fantastique, c'est le moins qu'on puisse dire, mais en plein océan...ou pour s'amuser...
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Voici une méthode (1849) de calcul par les distances lunaires approuvée par quelques V.I.P. de l'époque, avec les différentes tables associées. Cette publication se charge sur Google Livres
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Tous on voudrait pouvoir prédire la météo, avoir des astuces ou des formules toutes préparées; on peut, mais ça demande patience, longueur de temps et pas mal de curiosité. |
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Liste non exhaustive, mais à mon humble avis essentielle. N'y figure pas Moitessier car je le situe en dehors du schéma "classique" du navigateur moyen (j'ai cependant tous ses livres et l'apprécie vraiment) N'y figurent pas non plus Slocum, Vito Dumas, Smeeton, Fougeron, Bardiaux etc. (ouvrages que je possède, mais on ne peut les citer tous.) |
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A l'origine destiné aux naviguants aériens, c'était le seul ouvrage disponible pour les marins. C'est écrit par un météorologue, c'est très sèrieux et on y apprend tout de la météo. A compléter par la lecture du chapitre "Météo" des Glénans.
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Bien que datant de 1968, le parcours est d'actualité. Tout y est, l'idée, les sous, la construction et la réalisation du rêve. Il faut lire les trois volumes. On y apprendra, entre autre, qu'un quillard peut rester très stable une fois retourné, même dans une grosse mer des 50° sud. Aussi qu'on peut naviguer loin avec un équipement spartiate.
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Pour les ceuss qui naviguent Mer du Nord...Atlantique, les stats du vent (force, direction, probabilité) sur nos côtes, mois par mois. C'est instructif...mais ne correspond pas toujours à la réalité.
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Toute la rigueur bretonne, Le Toumelin restera une légende dans l'accomplissement du tour du monde. Organisation et volonté sont les maîtres mots?
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Ouvrage de météorologue vraiment déstiné au néophyte. C'est clair, il y a des exemples et des "trucs" à observer permettant de prévoir le temps à venir. L'auteur ne sera pas un inconnu pour les lecteurs d'Adlard Coles.
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Je relis "Naufragé Volontaire" régulièrement, tous les 4-5 ans! A chaque fois, l'émotion est plus forte. A une époque où il n'y avait pratiquement rien en moyens de radionavigation, Alain Bombard s'est lancé dans une traversée en solitaire avec un compas et quelques jours de nourriture en caisse scellée, juste pour prouver qu'il avait raison et pour sauver des vies... Chapeau bas Monsieur Bombard! A lire absolument.
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Même auteur que le précédent, dédié aux récalcitrants du "gradient adiabatique sec", ce ne sont que des images et elles sont déjà coloriées.
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Pour moi, le synonyme de Marin c'est Tabarly Il suffit de parcourir son bouquin pour s'apercevoir que tout est d'une logique imparable. Aussi bien en ce qui concerne la construction du Pen-Duick II que l'entraînement et la course. Ce n'est pas un roman, le journal de bord peut paraître fastidieux mais tout problème trouve sa solution la mieux adaptée.
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Démonstration de la volonté du bonhomme. Il a une revanche à prendre, il n'a pas de bateau adapté, qu'importe il fera sa course en solitaire sur Pen Duick VI (22 mètres - 32 tonnes) prévu pour un équipage de 14 hommes. Quelques modifications pour manoeuvrer seul et après une transat très dure (5 fortes dépressions), il arrive premier, bien avant Colas (Club Méditerrannée - 72 mètres).
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